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4. Monaco, une question de timing / On getting your timing right in Monaco

  • Photo du rédacteur: Pier et Suzanne
    Pier et Suzanne
  • 31 mai 2018
  • 3 min de lecture


J’avais vu Monaco à l’âge de 19 ans. Déjà en ce temps, je trouvais ça dense d’édifices accrochés aux falaises telles des chèvres des montagnes. Mais aujourd’hui, Suzanne et moi avons trouvé le tout presque issu d’un film futuriste tellement le nombre d’édifices ne cesse de croître.


Je dois admettre que le timing de notre escapade monégasque n’était pas été le meilleur. Avis aux intéressés, visiter cette ville iconique quatre jours après le Grand Prix est à éviter. Entre les estrades empilées un peu partout, les équipes de démontages à l’œuvre, les plus de 29 grues (j’ai arrêté de compter) et la horde de touristes restants du Grand Prix... je pensais à la chanson si connue de Diane Dufresne « donnez-moi de l’oxygène ».


La mythique Place du Casino / Place du Casino, Bond’s classic hang out.

Faute de pouvoir marcher, nous avons pris le tour de bus à deux étages pour mieux aller d’un endroit à l’autre. Après un arrêt au Casino et à l’Hôtel de Paris (chambre de 480€ - 30 000€ pour les intéressés) nous nous sommes tout de même offert une grignotine au Café de Paris. Verre de rosé pour madame, panaché pour moi et un club sandwich à deux. Nous avons opté pour le paiement différé sur 24 mois, sans intérêts.


Mais ce qui nous a frappé le plus, dans cette ville où la notion de terrain est une impossibilité, est de voir comment, sur un espace total de 2,02 ha d’espace, on arrive à entasser 38 000 personnes. Et accueillir des dizaines de fois plus de touristes par année. Incroyable.


Évidemment, les chasseuses de sugar-daddies y étaient mi-vêtues mais avec une certaine classe et élégance, ainsi que plusieurs Bentley, Maserati, Aston Martin et autres joujoux du genre. Il y a de l’argent à Monaco, c’est indisputable. À voir le nombre inimaginable d’édifices en construction à chaque petit espace disponible, on voit bien que le charme de cette ville opère. On ne comprend pas trop pourquoi, mais c’est nous.



Mais le plus beau parking de la principauté demeure le port, avec ses yachts plus luxueux les uns que les autres, intendants tous occupés à faire luire le sien un peu plus que celui de son voisin...


Pour nous, quatre heures à Monaco étaient plus que suffisantes. Le train revenu sur Nice, petite soirée dans un excellent resto Italien bien connu des locaux et à deux pas de l’appartement, le Davisto. Pâtes faites maison, tout fait frais et sur commande. Sincèrement, ce petit restaurant d’à peine 40 places est une belle trouvaille. Simple, bon et pas cher.


Aujourd’hui, on va chercher notre voiture de location, direction Cannes.


À suivre...



Dismantling the Grand Prix installations

Last time I was in Monaco I was 19. I remember how I was impressed by all these appartment/condo buildings hanging from the mountainous cliff, just as mountain goats would. Some 40 odd years later, Suzanne were astounded to think that a cliff side could bear so many buildings! There is literally not an empty piece of property without something being built on it.


But I suppose this is the best way to maximize the use of 2,02 hectares of space for some 38 000 inhabitants. Not to mention the words of tourists that come to stay and visit.


While we may not have had an overly enthusiastic appreciation of Monaco, our timing may also have been off somewhat. Four days after the Grand Prix formula 1 race, there were bleachers being dismantled everywhere, road blocked by construction and all the left over tourists from the said Grand Prix. All combined, not the best way to appreciate what any place has to offer.


We opted for the double-decker bus tour, which would give us a better feel of the place. We ended stopping at the Place du Casino (a Bond movies staple) and had lunch at the Café de Paris. While we took the 24-month payment program for our lunch, it was fascinating to watch the local fauna in their seduction dances. Young would-be starlets looking for their sugar daddies, gigolos parading proudly chest hair out in the open looking for some forlorn lady, nouveau riche showing off, and the serving staff all too aware of every step of this variation of a dance macabre. extremely entertaining.


On the port side of Monaco, an endless collection fo white yachts, one shinier and glitzier than the other. Made for the above-mentioned fauna no doubt.


We spent four hours in Monaco and while we did enjoy ourselves, we longed for the quiet of the semi-deserted Promenade des Anglais, the splashing of the Méditerranée on our feet and some quietude.


We finished our day at a local Italian restaurant, Davisto, rightly so highly-recommended by locals. Fresh pasta, homemade sauces, everything prepared fresh to the order and an extremely amiable staff.


Today, we pick up our rental car and head for Cannes.


More to come...



 
 
 

1件のコメント


Gregory Casper
Gregory Casper
2018年5月31日

Quel plaisir de suivre vos aventures ;)

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Pier et Suzanne
Pier & Suzanne

Il y a plus de 26 ans, la vie nous unissait. Le sens du voyage, de la découverte et de la complicité aussi.

Ensemble, nous sommes deux paires d’yeux qui se réjouissent à explorer différents coins de pays et à aller à la rencontre des gens qui en font leur paradis.

Visitez mon autre blogue Parallèle 66 sur la découverte de l’Alaska, frontière ultime aux espaces inouïs.

Twenty-six years ago, life placed us on each other’s path. We like to travel, discover what we do not know, experience what is foreign to us, meet people from all overs and see what their part of the world is all about and what makes it their paradise on earth.

Visit my other blog Parallel 66, on exploring this last frontier and its amazing spaces and people.

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