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29. On those magnificent flying machines and the 47th parallel / À propos de ces magnifiques machin


A fine example of a restored 1944 Grumman Goose

Un Grumman Goose de 1944 restored selon les règles de l’art

The last day. Half-day to be more precise. I feel sad that this is all ending, yet thrilled at reuniting with the love of my life Suzanne and our dog Pixel. Simple pleasures.

As time could not afford us much, we decided to go to the Alaska Aviation Museum, just off Anchorage’s international airport. I suppose some would say that there are much better and fancier ones around the world and they would likely be right. But this one, set up in a series of older hangars, has a very artisan feel to it which gives it a charm the others could never have. This has the feel of a smaller scale, artisan-made-and-run museum and that is exactly what makes it so valuable.

A Canadian-made and designed 1943 PBY- 5A Catalina Canso, soon to make ti to the restoration hangar.

Un PBY-5A Catalina Canso de 1943, avion conçu et fabriqué au Canada, en attente de soins au hangar de restauration.

You cannot think of Alaska without air travel being part of the equation. Without these brave men and some women who, as early as the 1920's, first flew planes to help chart the territory and then eventually provide vital links to the populations of Inuit and settlers strewn over this vast expanse of over 663 million square miles. Planes are as part of this state’s history as are the Inuit, the wildlife, the mountains and the glaciers. This museum does an excellent job at giving us a hands-on glimpse of the rudimentary planes they first flew and how this has become a major transportation and goods delivery mode.

The museum also has a recover and restore mission and we were allowed to go through the restoration workshops to see how this is painstakIngly done. Fascinating really.

After a quick bite in town, Daniel took me to the airport where we said our goodbyes and safe travels.

Tomorrow, my wrap-up post of this fabulous adventure.

Until then.

 

The restoration hangar where every imaginable part of a plane is meticulously given new life

Le hangar de restoration où chaque pièce d’avion qui y entre est méticuleusement remise à vie

La dernière journée. Enfin demi-journée. Une partie de moi est triste à devoir mettre une fin à ceci, mais en contrepartie de savoir que je vais retrouver ma douce Suzanne et mon poilu à quatre pattes Pixel m’excite. Les plaisirs simples de la vie finalement.

Comme le temps nous était compté, on a opté pour une visite du musée d’avion local, l’Alaska Aviation Museum, à deux pas de l’Aéroport international d’Anchorage.

The inside of a Boeing 737, as we will never see again. L’intérieur d’un Boeing 737 comme on n’en verra jamais plus.

On ne peut pas penser Alaska sans penser avions. Quand on réalise l’étendue et les distances de cet état de 1,718 millions de kilomètres carrés, il est clair que les traîneaux à chiens, les bateaux et les quelques trains ne peuvent suffire. L’exploration de ce territoire vierge au début des années 1900 n’aurait pu se faire sans ces braves hommes dans leurs magnifiques machines volantes. Ce musée, avec son apparence un peu artisanale qui lui donne un cachet encore plus sympathique et crédible, fait état de cette histoire. D’ailleurs, avoir un musée comme celui de Corpus Christi, Ottawa ou d’autres serait moins crédible. Ici, on fait tout à sueur de coudes, en se crachant dans les mains et en bûchant fort. Ce musée va très bien avec ceT esprit de « frontière ultime ».

Il a aussi une mission de récupération et de restauration de modèles d’avions qui ont marqué l’histoire de l’Alaska. Même qu’on a pu visiter les ateliers de restauration où chaque pièce de chaque avoir en son soin est restaurée selon les plus strictes règles de l’art. Un bel exemple de persévérance.

Après une petite bouchée rapide en ville, Daniel et moi nous nous séparons vers les 11h30 à l’aéroport. Quelques adieux plus tard, le voici redevenu voyageur solitaire et moi, à courir mes trois vols pour revenir à la maison. Demain, je clos ce blogue avec mes observations, mon top 10 de ce que j’ai le plus aimé, etc.

À suivre.

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